Une bonne partie de sexe entre lesbiennes

Une bonne soirée entre lesbiennes.
Jacquie embrasse mon sein, et aspire mon mamelon. Ses phalanges s’agitent dans mes deux orifices. Je glisse ma main gauche dans sa chevelure pour appuyer sa bouche sur mon téton.
Elle me branle avec vigueur. J’ouvre et je ferme spasmodiquement mes cuisses.
L’orgasme monte. Je mords mon poing pour ne pas crier. Je me cambre. Elle croque ma framboise. Le flash, je pars.
Elle dégage sa main de mes cuisses serrées. Je roule sur le côté, je me pelotonne contre elle, en chien de fusil. Je cale ma cambrure contre son petit ventre si chaud et si confortable.
J’attire son poignet, pour qu’elle empaume mon pauvre nibard martyrisé.
Jacquie s’est placée à califourchon au-dessus de ma tête. Elle se penche en avant et saisit mes chevilles, elle lève mes jambes et les écarte, offrant ma chatte et mon trou du cul. Une langue humide caresse mon clitoris, puis elle descend jusqu’à ma rondelle, puis pousse sur mon anneau plissé et le pénètre, puis se retire.
Un objet arrondi se présente devant ma rosette. Mon sphincter résiste, mais la lubrification facilite son forçage. Le god me dilate et passe sans forcer. Je suis moi-même étonnée de la complaisance de mon anus. Mais depuis hier soir, plus rien ne me surprend. Maintenant que je suis empalée, Jacquie repose mes jambes, légèrement repliées, pour me laisser accessible.
Elle se pose sur mon visage. Elle se dandine et colle sa rondelle contre ma bouche. Je glisse ma langue dans son anus. Celui-ci s’ouvre et gobe ma langue. Je me pousse en lui, en même temps qu’il m’aspire. Je tourne mon muscle dans son rectum. Elle roucoule sous ma caresse. Je suis heureuse de la faire jouir.
Mon pistonnage anal redémarre. J’adore cette sensation d’être empalée. Le leurre de verre coulisse sans peine, je peux sentir le délicieux frottement des reliefs du pal contre mon œil de bronze. Je n’ai jamais connu un tel plaisir à la sodomie.
Ma jouissance monte, j’halète, la bouche dans la raie culière de ma domina. D’un coup, elle se laisse tomber, elle m’étouffe avec son cul, je bats frénétiquement des bras comme une noyée.
Je m’asphyxie, mais je n’essaie pas de repousser mon amante.
Elle se soulève, je prends une grande goulée d’air, Jacquie m’empale avec brutalité. Mon anus explose et mon orgasme avec.