moi, l'acolyte

Voici bientôt une année que je me suis lancée dans le libertinage. Le cap de la quarantaine passé, je me suis dit qu'il y avait encore beaucoup d'expériences sexuelles que je voulais découvrir, même si mon compagnon n'était pas intéressé. Pour ma part: petit format, mais avec une belle poitrine, le cheveux châtain clair, un aspect pétillant. C'est notamment avec un quinquagénaire très sympa, Monsieur J - même s'il s'autorise à parler de moi à la première personne - que j'explore diverses voies, dans tous les sens du terme.
Je lui avais dit que l'idée de jouer la domina me tarabustait. Nous avons donc fixé une date de sortie et il a fouillé dans son répertoire. Ainsi, j'ai eu le plaisir de voir embarquer Joss, un jeune papa qui était passé en coup de vent lors d'une précédente virée, ainsi que Lola, un quadra très ouverte et qui aime se vêtir en femme.
Pour débuter la séance, Monsieur J m'a montré comment faire un bondage bite couilles avec un lacet sur Joss. Option saucisson ou avec jouet dans l'anus. J'ai préféré la seconde. Elle me permettait de sucer un beau phallus tout en l'asticotant, ce qui faisait bouger le presse-agrume. Jouant mon rôle de domina à fond, j'ai décidé d'utiliser ce nœud particulièrement bien noué pour mon propre plaisir. En le chevauchant ainsi, j'étais consciente que j'exposais ma croupe à la convoitise de mon co-équipier.

Il n'est donc pas gêné pour venir m'enfiler sa grosse bite, la plus large que j'aie jamais prise dans l'anus. Mais il a commencé en douceur, avec force lubrifiant, en alternant les petits va-et-vient rapides et mouvements plus lents et plus profonds que c'était un pur bonheur. Avec en plus le petit zizi dur de Lola en bouche, je me sentais aux anges. Lola et Monsieur J ont changé de place ensuite.

Mais c'est en petite grenouille que j'ai fait juter Joss, les deux pieds bien à plat à ses flancs. J'étais encore dans cette position quand mon co-équipier a glissé deux doigts dans ma chatte. Le coquin. Il connait très bien mon intérieur, et sais avec quelle force et quel angle me faire juter. C'est donc une belle giclée qui a donné la fin de la première mi-temps.
Pour continuer ma formation de domina, mon co-équipier a demandé à ses complices de s'installer à quatre pattes au bord du lit, pour me présenter leur arrière-train. Trois beaux mâles à portée de mes doigts, de mes mains, de ma langue. Un sentiment de puissance qui pourrait se révéler addictif. Mais, comme Joss devait partir, et qu'il ne s'était pas encore fait sodomiser, et qu'il avait encore envie de me prendre, on a arrangé le tableau. Je me suis mise sur le dos, cuisse repliées sur ma poitrine. Il est entré dans ma chatte, exposant ainsi son cul. Et j'ai bien senti quand Monsieur J l'a pénétré. Il a pu ainsi bouger son bassin pour notre plaisir à tous les trois. Néanmoins, comme il a crié "pouce" avant de terminer notre affaire, il a mérité une punition. Nous l'avons donc positionné à quatre pattes pour recevoir une volée de claques, une fesse par personne. A la main et avec une raquette de ping-pong. C'est donc les fesses bien rouges qu'il nous a quitté en demandant un fist pour une prochaine fois.
Cette idée n'est pas tombée dans l'oreille d'une sourde. Lola s'est donc proposée pour se faire fister. J'avais déjà fisté des dames en vaginal, mais jamais en anal. J'adore les premières ! Revêtue d'un préservatif, sur lequel mon co-équipier badigeonnait du lubrifiant, ma main s'est donc introduite dans le fondement très élastique de notre copine trav.

Des allées et venues, des tours de vis, des gratouillis vers la prostate, avec en prime un massage terrible du gland. Bientôt, l'envie d'une deuxième main se fit sentir. Pendant qu'on y est, autant aller au fond des choses, non ?

Après un bon quart d'heure d'un pareil traitement, nous nous sommes occupés de Monsieur J. Je savais qu'il adore les fellations avec caresse sur les couilles, plus un doigt lui farfouillant l'anus. En soixante-neuf, il me le rendait bien, suscitant en moi l'envie d'une nouvelle envolée. C'est en me mettant sur le dos qu'ils ont réussi à me faire décharger au moins quatre fois de suite, alternativement. Des décharges frémissantes, puissantes, inondantes !
Comme celle, unique, que nous avons fait jaillir de mon co-équipier avant de terminer la seconde manche.
En avant pour de nouvelles découvertes !