Ces harceleurs qui se cachent derrière un pseudo sont l’un des visages les plus sombres d’internet. Ils exploitent l’anonymat pour se donner une liberté de parole qu’ils n’auraient jamais dans la vraie vie. Leur morale affichée n’est qu’un masque : ils se posent en justiciers, mais leur méthode (photos volées, insultes, dénigrement) révèle une volonté de nuire. Ils s’érigent en juges tout en violant les droits les plus élémentaires : la vie privée, le respect de l’image, la dignité d’autrui. Ce comportement est d’autant plus dangereux qu’il se pare d’un vernis de légitimité derrière la prétendue défense d’une cause, mais c’est la rancune, la jalousie et la frustration qui guide leurs actes.
Sous le masque du pseudo se cache une personnalité frustrée en quête d’importance qui ne fait que révéler sa propre misère intérieure : la peur d’être insignifiants, le besoin de dominer pour compenser leurs échecs affectifs ou sociaux. Ces donneurs de leçons masqués incarnent une contradiction profonde : ils revendiquent la clarté tout en cultivant l’ombre. Leur prétendue vigilance morale n’est souvent qu’un miroir inversé de leurs failles intimes : le besoin d’exister, la peur d’être ignoré, la rage de ne pas être lu dans leurs publications. L’écran devient alors un refuge et le pseudo une armure contre le vide intérieur où leur violence virtuelle n’efface pas leur vide personnel, elle l’expose, en miroir, à mesure qu’ils s’enferment dans une spirale d’agressivité.
L’absence de contact direct leur donne l’impression d’impunité, mais ils oublient que chaque clic, chaque publication, laisse une trace. Pour preuve, voici quelques liens de photos volées et publiées par celui qui bannit du site est réapparu sous un autre pseudo avec les mêmes propos diffamants et les mêmes fautes de Français dans ses publications :
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La publication de photos volées sur internet cache plusieurs motivations profondes et paradoxales. Souvent, elle traduit une tentative d'appropriation illégitime de l'image d'autrui pour compenser un manque de contrôle ou une frustration personnelle. Ces personnes cherchent souvent la reconnaissance, les likes, les commentaires flatteurs. Elles tentent de combler un vide : celui de l’estime de soi, mais cette satisfaction est éphémère. Le mensonge numérique, permanent et fragile, finit par créer un malaise intérieur.
La frénésie de publier, notamment chez ceux qui volent les photos des autres et les diffusent, cache souvent une forme paradoxale de frustration. Cette frustration provient d’un manque de contrôle sur sa propre image et d’une quête maladive de reconnaissance. En volant et en publiant des photos d’autrui, ces personnes cherchent à combler un vide intérieur ou une frustration personnelle liée à leur propre image ou identité, tout en exerçant un pouvoir ou un contrôle illusoire sur les autres. Cette dynamique traduit souvent des difficultés psychologiques profondes telles qu’une faible estime de soi, une insatisfaction personnelle ou une souffrance que l’on tente de masquer par des actes de transgression et de domination sociale.
Ces individus croient, à tort, qu'un pseudo les protège en s'érigeant en gardiens de la morale mais en publiant des photos volées ont-ils conscience du paradoxe dans lequel ils s'enferment en prétendant défendre des valeurs, en commençant par les piétiner. Moraliser leur sert à masquer un comportement toxique, en essayant de culpabiliser les autres pour détourner l’attention de leurs propres actes répréhensibles.
Pourtant, il suffit parfois d’une question pour percer leur armure : « Et toi, respectes-tu les principes que tu exiges des autres ? » Leur silence, ou leur colère, en dit long. Car leur morale n’est qu’un accessoire, leur supériorité une illusion, et leur pouvoir un leurre. Leur vraie nature se révèle dans l’écart entre ce qu’ils disent et ce qu’ils font. Et c’est là, dans cet écart, que réside leur ridicule.
Le pseudo devient un costume, la vertu affichée un décor, et la haine dissimulée le vrai texte de la pièce. Ces moralisateurs masqués violent allègrement les règles qu’ils prétendent défendre : ils publient des photos volées, lancent des insultes, dénigrent sans pitié, tout en se drapant dans la dignité outragée. Leur indignation est sélective, leur rigueur à géométrie variable. Leur seul vrai talent ? Transformer leur propre médiocrité en spectacle, et leur malhonnêteté en méthode.
Il est vrai que lorsque les donneurs de leçons masqués violent les règles qu’ils prêchent, les utilisateurs peuvent devenir plus sceptiques quant à la légitimité de toute critique en ligne. Cette dissonance crée une sorte de comédie humaine : le moralisateur, en voulant paraître irréprochable, expose en réalité ses failles. Charles Fourier écrivait : « Les moralistes sont toujours bouffons, et souvent comiques quand on regarde ce qu'ils sont eux-mêmes. »
Charles Fourier écrivait : « Les moralistes sont toujours bouffons, et souvent comiques quand on regarde ce qu'ils sont eux-mêmes. ». Cet individu croit, à tort, qu'un pseudo le protège en s'érigeant en gardien de la morale. Moraliser lui sert à masquer un comportement toxique, en essayant de culpabiliser les autres pour détourner l’attention de ses propres actes répréhensibles, mais en publiant des photos et des vidéos volées a-t-il conscience du paradoxe dans lequel il s'enferme. Il suffit d’une question pour percer l'armure : « Et toi, respectes-tu les principes que tu exiges des autres ? ». Sa vraie nature se révèle dans l’écart entre ce qu’il dit et ce qu’il fait. Et c’est là, dans cet écart, que réside son ridicule !!!
La leçon, peut-être, est là : sur internet comme ailleurs, la crédibilité ne se décrète pas, elle se mérite. Et ceux qui prêchent sans pratiquer ne sont pas des moralistes - juste les bouffons d’une comédie humaine qui, hélas, n’amuse plus personne.
CQFD.
A bon entendeur !!!
CPL69LIBERTIN















