première soumission( récit érotique)

Le soir commençait à tomber. M et moi venions de faire l’amour pour la 4ème fois en l’espace de quelques heures.. Décidément ce premier week-end tant attendu et fantasmé ne suffirait pas à apaiser la faim et le désir que nous avions l’un de l’autre. Détendus,allongés nus sur le lit, nous parlions de nos fantasmes secrets et inavoués. M me confia la nature réelle de ses relations sexuelles avec son dernier partenaire… Il lui avait fait un cadeau coquin…

-« Tu veux voir » me dis-t-elle. Hum! Bien sûr… fais moi dont voir ce que tu caches?

M sortit d’un sachet un collier en chaîne, une laisse de la même matière, des menottes en métal, un fouet à lanières…noir avec un manche en forme de mini pénis et un gode-ceinture à la taille impressionnante. Légèrement excité sans rien lui avouer de mes pensées coupables à la vue de ses jouets intimes, j’attendais son aval.

-Tu veux essayer? Oui! Tu veux le faire ou… c’est moi?

-non j’ai envie que tu fasses!

-ok!

Elle me passa le collier au cou , les menottes au poignets et me ligota avec la laisse qu’elle relia par devant du cou aux pieds… La contrainte imposée par les liens, l’immobilité forcée, le contact du métal avec la peau autour de cou et aux poignets, me procuraient une sensation érotique jusque là inconnue et délicieuse…

Elle me tira par le cou avec la laisse, le métal de la chaîne qui me pinça accidentellement la peau me fit mal. J’hésitais un instant à poursuivre et me ravisait.. M m’allongea sur le coté, les jambes jointes et légèrement repliées et commença à me frôler la peau des épaules , des cuisses et des fesses avec le fouet. Un doux frisson d’attente, d’appréhension mêlée de désir me parcourut le corps.

Sans préambule, M me donna un premier coup de fouet sec, vif et ferme sur la hanche et la fesse découvertes.. Le bruit sec du fouet qui claquait à mes oreilles, combiné à une légère sensation de picotement, d’abord étrange et inconnu, se convertit dans la seconde suivante en plaisir d’une finesse et d’un richesse neuves. Ma respiration se fit plus courte et plus chaude.

Elle se pencha à mon oreille et me dit sur un ton tout à la fois sensuel et autoritaire:

- « Tu vas faire ce que je te dis! Tu vas m’obéir et la fermer! Tu es mon esclave, ma chose! »

Ces mots me coulèrent dans l’oreille comme un aphrodisiaque dans la bouche… et décuplèrent mon envie encore obscure confuse d’être frappé, violenté, soumis, dominé…

« oui, fais de moi ta chose » lui répondis-je timidement!

-ferme-là!!! tu parleras quand je te le dirai!

M, visiblement encouragée et stimulée par ma réaction m’asséna une série de violent coup de fouet sur les fesses et les cuisses . Les lanières claquaient, le son résonnaient dans mon esprit comme une musique qui amplifiait la sensation de douleur. Je commençais à avoir vraiment mal et c’était bon, douloureusement bon.

M observa un temps de pause durant lequel elle me caressa les zones malmenées avec les lanières du fouet. Après un court instant, redoublant de violence, elle m’infligea une nouvelle série de coups variant habilement la force et les parties du corps …Je sentais ma peau chauffer sous les coups, ma respiration devenir plus haletante, quelques cris étouffés sortirent de ma gorge. Je commençais à sentir monter en moi une vague érotique suave et frémissante, et une légère griserie m’envahir l’esprit… Je perdais doucement la notion du temps et de l’espace. Je n’étais plus sur un lit, mais tout entier dans l’exquis de la douleur qui courrait le long de ma peau.M semblait tout à fait à son aise. Ses gestes encore un peu maladroits n’en étaient pas moins fermes, décidés, sans hésitation. Je me dis à moi-même: « soit elle a des dispositions naturelles, soit elle aime vraiment ce qu’elle me fait, et probablement les deux… »

Après m’avoir asséné plusieurs séries de coup de fouet violents et douloureux, M me tira par le cou comme un chien, sans ménagement et me fit descendre du lit pour me positionner à 4 pattes sur le parquet tiède, le cul offert.. et me baillonna. Cette position humiliante, loin de m’incommoder me ravit et m’excita Je n’avais plus qu’une envie: abandonner ma virilité, la honte et la gène pour offrir mon intimité à M. Elle me donna quelques claques sonnantes et piquantes sur les fesses endolories et me dit sur un ton trainant et obscène:

– « Ça t’excite sale petite pute de m’offrir ton cul, trou à bite! » A quoi, follement excité je

répondis d’un frétillement de la croupe.

– -je vais t’enculer comme une lope, sale chien.

M passa sur le coté, m’empoignit le menton et me cracha plusieurs fois sur le visage. Me tira les cheveux et m’envoya une paire de gifles sévères. Repassant derrière mon cul, après m’avoir bruyamment craché dans la raie des fesses, et lubrifié avec un silicone , elle m’enfonça d’un coup net, sans douceur un doigt dans l’anus, puis un deuxième doigt, puis trois, puis les 5. Je sentais ses doigts aller et venir dans mon cul, tourner et retourner, me fouiller le cul comme je rêvais qu’une femme le fit. Puis, le cul bien ouvert, bien dilaté, je sentis sa main rentrer et son poings se fermer dans mon cul. Je poussais un cri rauque mêlé de douleur et de plaisir sans plus savoir laquelle des deux sensations dominait l’autre.

M, me fista le temps qu’elle jugea bon pour mon cul…Soumis, défait, exalté, j’étais prêt: M, enfila le gode ceinture noire en latex… la couleur noire luisante et la taille impressionnante du gode me firent peur d’abord. Mais la gourmandise et l’excitation reprirent très vite le dessus…Avant de se décider à m’enculer, comme pour me faire attendre encore un peu, et provoquer un regain d’humiliation, M, appareillée de son énorme et menacant engin noir et luisant de silicone s’approcha de mon visage, me saisit durement par les cheveux et m’obligea à sucer la queue en latex qui se dressait entre ses cuisses. Elle enfonçait le gode dans ma bouche et donnait de profond coup de reins. Le gland synthétique cognait contre ma glotte et provoquait des hauts le cœur et d’abondants rejets de salive. Je me sentais violé et humilié par la bouche. C’était pénible à supporter mais j’apréciais l’humiliation et me délectais des bordées d’insultes ordurières que M me balançaitsur un ton aussi sévère qu’obscène:

-« suce sale petit pute, bouche à bite, bouffeur de jus… t’aime çà que je te nique la bouche… allez

vas y ! suce bien! T’es bon qu’ à çà: sucer et te faire enculer.»

Enfin, après l’assaut vulgaire et sauvage de ma bouche gourmande de sévices, M revint se placer derrière mon cul. D’une main elle me saisit brutalement par les cheveux, tira ma tête en arrière, tandis que de l’autre elle empoignit la base du gode -ceinture, positionna l’extrémité visqueuse et tiède au bord de mon anus avide, saisit ma hanche droite et m’enfonça sa grosse queue de latex noire dans le cul, sans ménagement et me lima vigoureusement. Ses coups de reins fermes et précis m’arrachaient des cris de douleur et de plaisir qui venaient par vagues aigues, profondes et intenses… Me faire baiser, défoncer le cul par la femme que je désire, me rendait fou et ivre de plaisir… Je m’abandonnais sans réserve à la violence sexuelle transgressive et interdite de ma femelle brune, brutale, cruelle et sadique, dans l’oubli intégral de ma virilité, totalement comblé par ma position de mâle dominé, dégradé, humilié et soumis. J’ai jouis… sans entrave. Sans éjaculer… d’un orage rose électrique dans le cerveau…d’une over dose d’andomorphines…

Après qu’elle m’eut longuement défoncé et éclaté le cul, et baisé jusqu’au fond des entrailles, M se retira et revint se faire sucer la queue de latex noir chargée des viscosités et des odeurs suaves, musquées et chaudes de mon cul laminé… Douce et dégradante humiliation que j’attendais sans le savoir encore. Puis elle me laissa un moment là , épuisé et pantelant, ligoté et nu, à 4 pattes sur le sol, le cul mouillé de silicone et de salive, ouvert, dilaté et éclaté…offert à sa vue… réduit à l’état de chose, objet de tous ses caprices de garce adorée et crainte. En guise de petite récompense, elle me lécha l’anus, glissa et enfonça délicatement un doigt et me caressa doucement la prostate..pour m’abandonner en suite un long moment seul livré à macondition d’objet sexuel.

M, revint après un temps qui me parut s’éterniser intolérablement. Elle me délia de mes entraves et m’allongea sur le dos, mains menottées aux pieds du lit.. Elle se mit à califourchon sur mon visage et appuya fortement sa chatte contre ma bouche, tout en exerçant une pression sur les coté de ma tête avec ses cuisse:

- « allez, régale toi maintenant, adore, lèche, suce et bouffe moi la chatte, petite raclure… »

Ivre de joie et de plaisir, je dévorais son con, fourrais ma langue dans les remplis profonds de sa vulve gluante d’excitation sexuelle et pinçais son clitoris avec mes lèvres. Le visage comprimé par le poids de son cul, je peinais à respirer et j’étouffais, suffoquais… mais préférais me repaître de sa chair odorante, mouillée et brûlante plutôt de que de reprendre mon souffle… je sentais les vibrations de son plaisir jaillir de sa corolle rose sombre, son clitoris gonfler et durcir entre mes dents… j’aurais aimé me branler pour l’accompagner dans son plaisir. J’en avais furieusement envie. Mais ma position d’esclave et mes menottes m’interdisaient toute tentative de plaisir manuel… L’interdiction d’éjaculer me forçait à jouir de la bouche écrasée par le poids de son cul. Ma langue baisait sa chatte de plus en plus profond… je rêvais de pouvoir enfouir mon visage tout entier dans sa vulve de plus en plus visqueuse et délicieusement puante de sécrétions vaginales… sucer et boire jusqu’à la lie le jus ambré de son trou rose et béant offert à mon appétit insatiable, m’enivrer sans mesure ni fin de son affolante odeur de sueur, d’urine et de mouille… mes tempes battaient à rompre, et me faisaient mal… Je me sentais près de crier débordé de toutes parts par la frénésie du désir sauvage, animal que j’avais de sa chair intime et sale; prêt à perdre toute sentiment de mon humanité et de ma dignité dans la bestialité d’un feulement de chat en rut…Et pourtant, jamais, non jamais je ne me suis senti aussi moi-même aussi humain qu’en cet instant de délire et de crise lubrique…

M, portée à l’extrémité de ses sensations par ma langue habile se crispa sur ma bouche et laissaéchapper de longs râles graves et profonds de femelle affolée par l’intensité du plaisir intégral et maximal qu’elle ne parvenait pas encore semble-t-il à identifier à l’orgasme…(sic).Après un décrochage des muscles de son corps, je la sentis s’assouplir, et se détendre. Elle se leva, libérant ma tête de l’étau puissant de ses cuisses. Enfin je pouvais reprendre mon souffle. Elle écarta les jambes au dessus de moi, me jeta un regard salace, une lueur de perversité dans ses petits yeux légèrement bridés et pissa avec force bruit, debout sur mon visage… Je sentis les premières lourdes et chaudes gouttes de sa pisse jaune et forte tomber sur mes joues ma barbe et mes lèvres, couler dans mon cou et mes oreilles. N’en pouvant plus, laissant aller la dernière barrière de résistance face au dégout naturel, assoiffé d’elle, de tout ce qu’elle a, de tout ce qu’elle est, j’ouvris la bouche en grand et accueillit avec une volupté folle et longtemps attendu comme une ultime récompense, le jet d’urine et avalait goulument sa pisse… saveur forte, acre et doucereuse… breuvage divin et interdit… sans nom… unique …qui provoqua un second Orage rose électrique dans mon cerveau… la gorge et les yeux me piquaient.

Je perdis tout à fait la tête. Dans un état second, ivre de la joie de recevoir son jet doré, ivre de reconnaissance envers elle, je m’évanouissais dans un instant de bonheur pur et intense…qui recouvra mon esprit d’un fin voile de pluie de soie..Mes neurones crépitaient et scintillaient comme des protons lancés à la vitesse de la lumière dans un accélérateur de particules. Le moi atomisé, heureux de n’être plus ni masse ni onde, je riais de la découverte que je venais de faire mi émerveillé mi effrayé par les vagues de plénitude et d’extase qui me soulevaient par à coups pour me déposer enfin, de loin en loin le corps frissonnant d’une transe délicate et subtile.

M, m’enleva les menottes et s’allongea près de moi, me caressa le visage avec une immense tendresse.. Je me suis lové amoureusement au creux de son corps blanc, moelleux et chaud, habité d’un profond sentiment de gratitude et de reconnaissance pour elle. Nous nous sommes regardés longtemps sans rien dire, puis nous avons fait l’amour longuement et langoureusement..le coeur au diapason des murmures qui doivent rester secrets quelques temps encore..